Lutter contre l’exploitation animale c’est faire le choix de ne pas prendre part aux activités qui leur sont néfastes.

Aujourd’hui avec l’alimentation des réseaux sociaux, il semblerait que les limites du raisonnable ait sauté !

La course aux likes a oublié l’éthique.

 

Il existe pourtant des solutions, des façons de peser dans la balance, pour rendre leurs droits aux animaux.

 

L’exploitation animale, c’est quoi exactement?

 

Exploitation:

Action d’abuser à son profit.

 

Animal: Être vivant organisé, doué de sensibilité et qui (en général) peut se mouvoir (opposé aux végétaux).

 

L’exploitation animale se cache sous bien des formes.

C’est souvent dans le domaine du tourisme qu’elle se révèle, car elle engage un profit, un gain d’argent pour l’homme.

Oui, c’est un divertissement pour le client mais c’est en premier lieu un moyen de pouvoir faire de l’argent (et dans certains cas, beaucoup d’argent).

Et pour qu’avant tout ces activités puissent devenir rentables, il faut utiliser les animaux. Qu’importe leur volonté, voir leur santé (aussi bien physique que mentale).

La face cachée de l’iceberg

Les spectacles aquatiques, monter à dos d’éléphant, faire un tour de calèche dans une ville ou encore visiter un zoo.

Un tas d’activités qui font rêver et que l’ont apprécie faire en famille pour faire plaisir à tout le monde. Cependant, qu’en est-il du respect et du traitement de ces animaux?

Oui, ils obéissent. Oui, ils sont récompensés. Oui, on s’occupe d’eux.

Mais dans quelles conditions et surtout à quel prix ? Enfermés, cloîtrés, battus, drogués… Parois même exploités jusqu’à leur mort prématurée.

Malheureusement, les activités qui engagent des animaux dans le but de faire du profit ne profitent en aucun cas au bien être animal (notion qui s’engage à éviter toute souffrance animale et prône l’amélioration de la condition animale).

Car oui, derrière les jolies photos de vacances, se cachent une bien triste réalité.

 

Choisir de monter à dos d’éléphant ou de visiter un parc qui engage des spectacles aquatiques, c’est choisir de soutenir l’exploitation animale.

 

On peut penser que ces animaux sont heureux, qu’ils sont en communion avec l’Homme, qu’ils sont bien plus puissants que nous et qu’ils ont le choix.

Mais ils ne sont-là dans le seul but égoïste de nous divertir.

Un animal sauvage se doit d’être libre et non enfermé dans un bassin, ou dans une cage de cirque/zoo à faire le pitre pour notre seul et unique divertissement.

 

Dans certains pays, des animaux sauvages (tel que des lions…oui, les animaux qu’on qualifie de Rois de la savane) sont drogués dans l’unique but de pouvoir poser à côté.

 

Ces activités à éviter en vacances

 

À l’époque ou j’habitais en Roumanie, on pouvait même poser avec un ours enchaîné devant un château. Mais pourquoi ? Si ce n’est pour diffuser l’information par la suite (et pourtant, pas de réseaux sociaux à l’époque. Mais visiblement l’exotisme et le dépaysement suffisent à vouloir exposer un tel spectacle désolant).

 

Malheureusement nombreux sont les exemples.

Dans beaucoup de pays et sous beaucoup de formes, l’exploitation animale est présente.

  • Les parcs aquatiques, avec les orques qui vivent 2 fois moins de temps dans leurs bassin minuscule qu’en liberté #BoycottMarineland

  • Les zoos exploitants les animaux

  • Les fermes aux crocodiles en Asie

  • Les singes et cobras de la Place Jema El Fnaa à Marrakech

  • Les tigres drogués de Thaïlande

  • Les ‘sanctuaires’ où les éléphants d’Asie sont battus pour abattre toujours plus de travail pour satisfaire les touristes

  • Les lâchés de taureaux et corridas en France & en Europe

  • Les calèches des grandes villes mondiale comme New-York, Rome ou encore Dublin

Et malheureusement, cette liste n’est pas exhaustive…

Justice pour les animaux via la documentation

 

Payer pour ces activités, c’est accepter la mauvaise condition animale et c’est surtout encourager ces activités à exister.

Alors, que pouvons nous faire pour remédier à l’exploitation animale ?

 

Refuser de prendre part à ce genre d’événements est un premier pas.

N’oubliez pas d’en parler autour de vous. Même si cela peux paraître évident, ça ne l’est pas pour tout le monde.

 

Et pour cela, il faut se documenter.

Il existe des documentaires tel que The Ghosts In Our Machine (sur l’exploitation animale en générale) ou encore Black Fish (sur les orques en captivité).

Il existe aussi des ONG qui militent pour le droit des animaux comme L214 ou Sea Sheperd.

 

Des solutions éthiques

 

D’une manière plus générale, il est intéressant d’essayer de se tourner vers un tourisme dit responsable ou éthique.

 

Si vous tenez vraiment à voir des animaux lors de vos prochaines vacances, de multitudes d’alternatives éthiques existent:

  • Visitez des refuges pour animaux

  • Partez en excursions en pleine mer pour observer des baleines, des orques, ou encore plongés avec des requins avec de petites entreprises locales. Privilégiez les petits bateaux pour limiter la nuisance sonore pour leur confort.

  • Les Safaris en réserve naturelle

  • Les cabanes pour observer les ours et autres animaux sauvages dans leurs milieux naturels comme en Roumanie ou en Slovénie.

Si vous êtes un peu chanceux, prenez le temps de vous balader en pleine nature, vous serez surpris 😉

 

💚 Merci pour eux 💚

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